Un astronome américain ,Halton Arp ,
fait une découverte extraordinaire : les galaxies pondent des « bébés-galaxies » ou « quasars ».
Quittons notre petit
laboratoire terrestre pour nous évader vers l'espace... vers des astres plus
brillants, plus beaux.
Le plus proche de nous
c'est, vous l'avez deviné, le soleil.
Qu'est-ce que le soleil ?
C'est une question que certains de mes élèves m'ont posé
quand nous en parlions. Et certains aussi étaient tout étonnés quand je leur
disais que c'était une étoile.
Une étoile qui fait partie,
telle un bourgeon, de la branche d'un arbre. Sur cette branche il y a beaucoup
de bourgeons et notre soleil fait lui aussi partie d'un nuage d'étoiles qui
forment une des multiples branches de notre galaxie... Et notre galaxie est
comme l'arbre d'une forêt car, elle aussi fait partie d'un groupe de galaxies.
Et des forêts de galaxies il y en a des milliards dans notre univers...
Nous pouvons, tel des
microbes sur un bourgeon, admirer un lambeau de ce grand arbre qu'est notre
galaxie.
Par une nuit claire, nous
voyons, en effet, la voie lactée qui forme une grande partie de l'arbre
galactique. Nous n'en voyons qu'une mince partie d'ailleurs, et, dès que nous
voulons voir les autres arbres qui nous entourent, il nous faut utiliser une
lunette astronomique ou un télescope.
Notre galaxie comprend entre
200 à 300 milliards d'étoiles qui s'assemblent en rameaux gigantesques enroulés
autour du noyau de la galaxie. Et il y a des milliards de galaxies de toute
taille dans notre univers. Les plus grosses d'entre elles pouvant comprendre
jusqu'à
500 000 milliards d'étoiles
environ, d'après les calculs de probabilité des astronomes.
Poussière que notre globe
auprès de tout cela, micropoussière de poussière que l'homme dans cet univers fantastique.
Puissent les grands de notre humanité en prendre conscience un jour... et
peut-être que leur orgueil qui, parfois, ne connaît pas de bornes, prendrait sa
dimension exacte . Mais détournons nos regards de ce qui se
passe sur notre planète poussiéreuse pour aller nous réchauffer le coeur et
l'esprit auprès de notre mère à tous: le soleil.
Source :NASA(doubleprom_soho_full)
Le soleil, quoique bien modeste de par sa taille,
son poids et son éclat auprès d'autres étoiles, est pour nous, une immense
boule lumineuse qui se trouve à 150 millions de kilomètres de nous. Je ne
parlerai pas de ses dimensions fantastiques par rapport à celles de notre
terre, le lecteur intéressé trouvera tout ce qu'il souhaite savoir sur notre
astre dans un des nombreux livres à bon marché qui existent actuellement. Ce
qui nous intéresse c'est de savoir que notre soleil tourne sur lui-même, tout en fonçant
dans l'espace galactique et ce en 25,4 jours à son équateur alors que près des
pôles sa durée de rotation est de plus de 29 jours...
Notons qu'il est, comme sur notre planète,
légèrement aplati aux pôles du fait de sa rotation.
Avant 1957 et les premières expériences par
satellites artificiels, les savants pensaient que l'atmosphère et le champ
magnétique terrestres diminuaient au fur et à mesure que l'on s'éloignait de
notre planète et qu'ils "s'évanouissaient" littéralement dans
l'espace interstellaire qui nous séparait du soleil. Un vide presque parfait
séparait, en somme, la terre du soleil, tout comme les autres étoiles de notre
galaxie.
Grâce aux satellites lancés depuis 1957, il ne
subsiste plus rien de ces conceptions anciennes. On sait maintenant que la
Terre est plongée dans un courant de particules neutres ou chargées émises par
le soleil et d'autres étoiles.
La plupart d'entre elles viennent du soleil, et ce
sont surtout des particules d'hydrogène ionisé, positives; on appelle ceci le
vent solaire. Le soleil a, de même, un champ magnétique qui, bien que différent
du nôtre, sert de guide à ces particules qui se perdent aux confins du système
solaire... Parfois, des jets de particules chargées, en superposant au vent
solaire habituel, viennent frapper notre magnétosphère; ils produisent des
orages magnétiques que les spécialistes en radio et en radar connaissent bien...
ainsi que des aurores polaires dont parlent tous les livres de géographie
( Consulter "Le vent solaire" dans « Sciences - revue de la
civilisation scientifique », n°71, mars-avril
1971, p37 à 44, par Michel Aubry et J.C. Cerisier.
C'est un article déjà ancien mais qui a le mérite d'être clair et très complet
(intéressante bibliographie en fin d'article !).
Ce vent solaire est générateur d'énergie. La terre
emmagasine une partie de cette énergie dans sa magnétosphère sous forme de
particules piégées faisant indéfiniment le tour de la terre pour former une
région ionisée qui porte le nom de ceinture de Van Allen, du nom du chercheur
qui l'a découverte. Cette ceinture renforce le champ magnétique terrestre et
lui donne ainsi une véritable structure de coussin caléfactoire
supplémentaire...
Le soleil, par son vent solaire et sa rotation
connaît donc le processus caléfacteur, comme tous les autres astres ou étoiles.
C'est ce que prouve d'ailleurs une récente expérience spatiale américaine de
1971.
Le satellite OCO-5 a décelé un vent d'hydrogène
provenant des constellations du Scorpion et du Sagittaire. Ce vent balaie en
permanence notre système solaire, se déplaçant à la vitesse d'environ 16 000 km à l'heure.
En sachant que la galaxie est formée d'étoiles en
caléfaction qui éjectent une quantité énorme de matière dans toute la galaxie
tout aussi bien que sur son pourtour sous forme de vent solaire, nous pouvons
dire qu'elle dispose elle aussi d'un coussin caléfacteur. Comme elle tourne sur
elle-même, la nôtre fait un petit tour en 250 000 ans environ, nous pouvons
dire que toutes les galaxies répondent aussi aux deux critères essentiels de la
caléfaction: rotation et coussin caléfacteur et qu'ainsi, tout ce qui est astre
semble obéir à un processus commun: le phénomène caléfacteur.
Cette caléfaction, pour les astres vivants, entraîne des modifications extraordinaires à l’intérieur de ces derniers…
La terre, le soleil, la galaxie
possèdent un noyau qui, lui aussi, tourne sur lui-même et induit des mouvements
de convection au sein du manteau planétaire, stellaire ou galactique.
Incroyable similitude qui donne, au sein du manteau terrestre, deux sous-noyaux antagonistes, au sein du soleil, une
demi-douzaine de sous noyaux et, au sein des bras galactiques des myriades de
nuages d'hydrogène qui ont tendance à se condenser en nichées d'étoiles !
Cette grande similitude entraîne aussi
une similitude dans la création. La planète, à partir de ses deux sous-noyaux, pondra
un satellite, l'étoile, notre soleil en particulier, à partir de ses
sous noyaux, pondra une nichée de planètes. Notre galaxie, au sein des bras
galactiques, verra naître, à partir de globules formés par de l'hydrogène, une
myriade d'étoiles ..(cette dernière hypothèse est à revoir !
Il y a là une logique de création qui
n'a pas été vue par les astronomes jusqu'alors. C'est le mécanisme interne de
cette création ou ponte que je vais m'efforcer de démontrer dans le chapitre 4
de mon livre..
La galaxie Centaurus A éjectant de la matière…
Source :http://chandra.harvard.edu/photo/2003/cenajet/index.html
Pour conclure , je dois avouer
que nous ignorons presque tout de ce qui se passe dans le noyau
d ‘une galaxie…Cependant ,il y a quelques dizaines d’années déjà un
astronome américain ,Halton Arp ,en utilisant les télescopes les plus
puissants du monde ,a obtenu des photos incroyables :des quasars
semblent unis au noyau de leur galaxie-mère comme le
prouvent les filaments de matières(ou cordon
ombilical) et surtout les courants de rayons X enregistrés plus
récemment par radioastronomie…Ces dernières données sont
intéressantes :elles sont spécifiques des processus explosifs…Et cela ne
me surprend pas :les galaxies obéissent au processus de ponte que j’ai
découvert pour les étoiles et les
planètes .C’est donc par un processus explosif similaire que naissent les bébés-galaxies
ou quasars. Et ce processus n’a jamais été accepté par l’astronomie officielle
car il remet en cause l’existence du fameux « big-bang » ..Halton Arp a même été
« interdit de télescope » Ses livres ont cependant été traduits dans
de nombreux pays mais pas en France…J’invite donc le lecteur angliciste à lire
certains de ses livres :
« Quasars ,redshifts and controversies »par
Halton Arp,Editions Interstellar Media ,2153 Russell Street, Berkeley ,CA 94705
USA.
“Redshifts,Cosmology and Academic Science “ par Halton
Arp-éditions Seeing Red-Ageiron MONTREAL
“The Big Bang Never
Happened” par Eric J .Lerner.(Une réfutation étonnante de la théorie officielle de la
création de l’Univers). « Vintage Book,a division of Random House,Inc. New York)-chez
Amazon.com.
NGC1365
l’une des galaxies étudiées par Halton Arp .Source :NGC_vlt_big
NOUVEAU
Un site
unique consacré aux hérétiques de l’astronomie !!!C’est un ravissement
pour l’esprit et les yeux….Merci Monsieur Lempel….
http://perso.wanadoo.fr/lempel/index.htm
http://perso.wanadoo.fr/lempel/halton_arp.htm
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cliquer…pour passer à la version anglaise !!!)