Des Ovnis dans les Nuages !!!

 

Témoignage : observation en Picardie !!!
05.07.2003 19:55 | 299 | TOS

 

Reçu le 01/07/2003 (note d'ipani : desolé pour le retard de la publication, mais en ce moment j'ai quelques problèmes avec mon ordinateur...)

Date et heure : 22/06/03 1H
Lieu : Crépy en Valois/ Oise.

Description :

A partir de 1h du matin alors que le ciel était calme , sans pluie , ni orage je voyais des eclairs brillant à travers ma fenétre . Ils étaient réguliers , à à peut prés 1 minute d'intervalle entre chaque éclair .
Je me demandais ce que c'était mais je n'y ai pas tellement fait attention car j'était épuisée et j'était déja couchée dans mon lit depuis 1h .
Mais , lorsque j'ai vu les news où des éclairs inhabituels auraient été vus en Angleterre , je me suis dit que cela pouvait étre la méme chose.

 

joseph glapa a écrit le 09.07.2003 vers 07:39:05:

Un cumulus énorme…le 3 juin  2000 !!!

Certes;ces éclairs existent...mais il en est qui sont étranges….Un samedi 3 juin 2000 vers 19h30 un gros orage est arrivé à la hauteur de Douai et a progressé en direction de Denain(Nord )Eclairs terribles entre Douai et Denain..grosse boule de plasma observée à Pecquencourt au-dessus d'un pylone..la télé qui disjoncte 2 à3 fois à des km à la ronde...Et pas une goutte d'eau!!!L'orage s'évanouit à la hauteur de Denain...J'ai observé cela d'Abscon ..et ma chienne était comme hypnotisée par l'énorme nuage noir...Le tout en un quart d'heure...Le lendemain un témoin observe en Angleterre un ovni...énorme...(Internet).

Note de Joseph Glapa :Merci à Ipani pour cette observation en Picardie et pour ma réponse…Vous avez son adresse dans mes sites amis….

NOS LECTEURS NOUS ECRIVENT ~

Une escadrille d’ovnis dans des nuages en 1941 !!!

Une curieuse observation de nuages.

 

LA NATURE_revue des sciences et de leurs applications._No 3152-janvier  1948..

 

 


Dans son numéro 3113 du ‘1er octobre 1947, La Nature a publié un article sur la pluie artificielle, illustré d’un cliché montrant l’effet d’un lâcher de neige carbonique sur une mer de nuages. Les gros cumulus étalés en tapis donnaient naissance au point touché par la neige carbonique à un véritable champignon d’explosion s’élevant à plusieurs milliers dc mètres d’altitude.

 

Cette vue m’a rappelé une observation presque identique, où la neige carbonique n’est pas en cause.

 

C’était au Mans au début de l’été 1941, pendant l’occupation allemande. La Luftwaffe avait occupé l’ancien aérodrome du Mans au Circuit de la Sarthe et entretenait plusieurs groupes de Messer­schmidt 109, avions de chasse bimoteurs monofuselage, pas très rapides, mais excessivement maniables.

(Note de Joseph Glapa : le témoin ignorait que ces avions étaient un modèle  secret qui ne sera présenté en public qu’en 1942,le Messerschmitt 262.)

 

De son côté, la R.A.F. anglaise venait très fréquemment avec des avions isolés, à très haute altitude, lâcher des bombes isolées sur le terrain, évidemment par principe, car les dégâts étaient nuls, comme les habitants du Mans le vérifiaient, en circulant en permanence sur la lisière du terrain bordée d’ usines.

Mais les pilotes allemands étaient en état d’alerte permanente et plusieurs fois, j’ai assisté d’assez près à des envolées en groupes des Messerschmidt en plein jour les avions tournaient au-dessus du terrain ou s’écartaient en hâte et tous les Français comparaient le spectacle à celui des guêpes jaillissant de leur nid souterrain quand on a donné un coup de pied près de l’entrée. Une demi-heure après, les avions rentraient discrètement et tout se calmait. bien entendu l’avion anglais avait disparu.

C’est ce scénario qui s’est produit le jour de l’observation que je signale.

Il faisait un temps magnifique, un dimanche autant que je me souviens, et vers 13 h, le ciel très dégagé ne contenait que quel­ques gros cumulus à base vers 300 m au plus et sommet probable­ment vers t 000 m, nuages d’ailleurs très écartés les uns des autres. ‘Vers 13 h, toute la ville entendit le vacarme des avions s’envolant en hâte, et je pus voir que la cause de l’alerte semblait  être dans un des gros cumulus qui, à ce moment, survolait très lentement le terrain d’aviation. On pouvait voir les Messerschmidt, -comme affolés autour du nuage, piquer dedans à toute vitesse, en ressortir en chandelle ou de travers, et recommencer leur manoeuvre , spectacle véritablement très joli, mais qui  devait être terriblement dangereux pour les pilotes.

S’agissait-il d’un exercice ordonné par le commandement du camp ou d’une alerte ? Je ne l’ai jamais su, Mais il était curieux d’observer les airs terrifiés des soldats et officiers  casernés en ville, qui suivaient le spectacle des fenêtres des maisons.

Je pus alors observer que le nuage,  qui, à son arrivée, semblait avoir sa base vers 300 m et culminer vers 1000m, se mit à bourgeonner et quand il s’écarta de l’aérodrome  pour s’éloigner de la ville, il avait pris la forme d’une pyramide très haute à contours parfaitement nets et brillamment éclairés par le soleil ; sa pointe très aiguë  devait se trouver probablement vers 3000m, d’après  sa  hauteur visible sur l’horizon et sa place probable sur le terrain.

 

Mon point d’observation était à 4 km du terrain d’aviation et le nuage était à environ 5 km quand j’observai son sommet .

Sur le moment, je ne m’étais pas expliqué le phénomène , mais l’article de La Nature semble donner la solution.

Il est probable que le passage répété des avions dans le cumulus-. a déclenché une action semblable à cel1e de la neige carbonique. Je n’ai jamais su si il y avait eu de la pluie sous le nuage car  sa base m’était cachée par une des crêtes entourant la ville au moment   où il s’éloignait.

Le phénomène m’avait frappé puisque six ans après je m’en souviens bien. Il est vrai que j’en suis encore à me demander pour quelle  raison les Messerschmidt se sont livrés à ce manège qui  nous a toujours semblé anormal,

 

  Note de Joseph Glapa :le témoin a raison de souligner l’ étrangeté de son observation….Mais pouvait-il penser un seul instant, en 1941 ,qu’il s’agissait de quelque chose d’extraordinaire… ? Je suis convaincu  ,à la lueur de tout ce que nous savons aujourd’hui ,que les extraterrestres , cachés dans les quelques gros cumulus, étaient venus en nombre ce jour là,pour tester l’avion révolutionnaire qui fut présenté au public en 1942 seulement : le Messerschmitt 262 !!!  La première escadrille se trouvait au Mans dès 1941….

 

 

Le Messerschmitt 262 fut le premier chasseur à réaction opérationnel du monde.(bi.réacteur)                                           

 

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Des aérostats en détresse …en 1896 !!!

Comité scientifique de l’Aéro-Club de juin 1907 .

(Cosmos-n°11736­6-20juillet 1907 –p79)

 

En 1896, M. W. Monniot ascensionnait à Boulogne-sur-­Mer à l’occasion de l’inauguration du monument Lhoste et Mangot. L’aérostat guide-ropait depuis longtemps déjà lorsque brusquement il s’éleva avec rapidité tout en se dirigeant vers un nuage orageux comme s’it était aspiré par une force puissante.

Le ballon était à peine plongé dans une nuée qu’un grésillement comparable à celui d’une poignée de sel  jetée au feu se fit entendre avec intensité. Le pilote, vieux routier de l’air, s’approcha des cordages afin de reconn­aître la nature de ces bruits, mais recula vivement, assez ému, en constatant que des étincelles jaillissaient aussitôt qu’il en approchait les doigts. L’énergie du phé­nomène augmenta à mesure que la sphère s’élevait; bientôt le pilote, les mains crispées comme lorsqu’on tient les poignées d’une machine électrique, dùt renoncer à effectuer les manoeuvres.

Il est possible que ces manifestations lumineuses, vi­sibles même en plein jour (il était 4 heures de l’après-midi) n’offrissent aucun danger. On avait cependant le droit de craindre l’inflammation du mélange détonant produit par le gaz sortant à flot de l’appendice. Les aéronautes crurent prudent de quitter ce milieu impressionnant et effectuèrent une descente peut-être un peu vive dont le but est facile à comprendre.

Un phénomène du même genre vient de se reproduire d’une façon encore beaucoup plus frappante, car il eut lieu pendant une ascension de nuit exécutée au parc des cô­teaux de Saint-Cloud, le 23 juin, par M. Levée. Parmi les exploits aériens des membres de l’Aéro-Club, les voyages de M. Levée font particulièrement sensation par leur nombre, leur durée et leur longueur. Il en résulte que les observations que nous allons résumer sont effectuées avec calme et précision et ne peuvent être révoquées en doute. Elles mettent en évidence des faits qu’il est urgent d’analyser; de la sorte, on pourra, d’une façon précise, constater qu’un ballon non métallisé peut, dans certains cas, se trouver électrisé d’une façon assurément dange­reuse; il est probable que. dans une situation semblable, un aérostat revêtu d’une couche d’aluminium ne s’en serait pas tiré d’une façon si inoffensive.

Le ballon, guide-rope déployé, se trouvait, à 11h55 du soir, à 1 300 mètres d’altitude aux environs de Mons, lorsque deux averses successives s’abattirent sur l’étoffe et les agrès. Il fallut jeter, en quelques instants, 75 kilo­grammes de lest pour maintenir l’équilibre compromis par la surcharge d’eau, En même temps, le vent, assez vif jusqu’alors, tomba avec une rapidité non encore constatée dans les cinquante-deux ascensions précédentes du pilote.

Quelques minutes après, M. Levée, désirant mettre en ordre les sacs de lest, vit, à sa grande surprise, jaillir de l’un d’eux des étincelles très vives aussitôt qu’il en appro­cha la main. Comme si cette apparition avait été un signal, tous les cordages se mirent à crépiter pendant que le matériel, y compris le guide-rope déroulé et hu­mide, devenait lumineux.

La sphère, complètement phosphorescente, ressem­blait à une vaste lanterne vénitienne; le spectacle en lui-meme ne manquait pas d’un certain charme que M. Levée et ses deux compagnons auraient apprécié comme il convient, s’ils n’eussent cru, ainsi que M. Mon­niot, en 1896, le voisinage de ces flammes compromettant pour le réservoir de gaz auquel leur existence se trou­vait attachée.

Cependant, après quelques minutes d’angoisse, aucune déflagration ne se produisant ,les aéronautes se

 rassu­rèrent.

Le guide-rope était attaché à la nacelle par un cabillot qui donna lieu à des lueurs étranges: une gerbe de traits lumineux en sortait et ces lignes brillantes se recourbaient comme le font des jets d’eau.

A mesure que l’on promenait la main le long des cor­dages à une distance de quelques centimètres, des flammes bien nourries s’élançaient aussitôt. Mais elles ne donnaien lieu à aucune sensation physique; nulle secousse, quelque faible que ce soit, n’a été ressentie pendant les quinze minutes que durèrent les observations répétées un grand nombre de fois.

Les phénomènes mirent deux ou trois minutes à atteindre leur maximum; ils disparurent en s’affaiblissant progressivement dans un laps de temps identique.

Ce qu’il y a de curieux, c’est que l’aérostat n’était plongé dans aucun nuage ; il ne se trouvait sous l’in­fluence d’aucune couche nuageuse d’une certaine étendue, le ciel était parsemé de nombreux cumulus laissant aper­cevoir dans leurs intervalles les milliers d’étoiles visibles pour un observateur placé à 1 500 mètres…..

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W.   de FONVIELLE,

 

Des nuées et des dieux …dans la bible !!!

Note de Joseph Glapa :voici la traduction d’un texte de Filer’sFiles-n°37- du 10 septembre 2003. Merci à George Filer.

 

DIX COMMANDEMENTS - je  suggère que les OVNIs aient joué un rôle important dans l'histoire du monde.Le révérent Barry Downing , dans son livre "la Bible et les Soucoupes volantes" déclare que les messagers sont ici et que les Piliers de Feu et de Nuage sont les descriptions antiques d'OVNIs. Lui et d'autres experts estiment que quand les Ecritures saintes hébraïques sont traduites correctement, elles décrivent le cylindre ou la soucoupe surmontée d'un dôme qui porte les messagers de Dieu, des anges, ou le Seigneur.... Le mot le plus souvent utilisé dans l'Ancien Testament pour le nuage est 'anan', un mot qui décrit tout autre chose  que des mouches ou des oiseaux et des insectes. Les nuages ou 'anan' sont décrits comme  normalement associés aux nuages duveteux volant vers l'observateur et atterrissant,et émettant des lumières la nuit et transportant des passagers  .Le révérend Downing affirme que "Pendant leur  fuite de l'Egypte les Hébreux furent gardés par une colonne de nuage dans la journée et une colonne de feu la nuit. ' (L'Exode 14:24), Parfois la colonne de nuage est mentionnée comme "le Seigneur" (l'Exode 13:21; 14:24).les autres  références semblent etre "l'ange de Dieu(Exodus 14:20),ou "la Gloire et la Lumière du Seigneur apparaissant dans la nuée" (Exodus 16:10),ou "je viens chez vous dans un nuage épais" (Exodus 19:9) ou "le Mont Sinaï fut enveloppé de fumée parce que le Seigneur y descendit dans une boule de feu "( Exodus 19:18 ). Evidemment,comme les nuages réels ne peuvent pas transporter de passagers,nous pouvons en déduire que la Bible se réfère à des engins volants qui restent en vol stationnaire au-dessus d'un lieu pendant des mois?Les descriptions parlent souvent d'apparitions dans un nuage.Le Seigneur tout puissant rencontra Moïse au sommet du mont Sinaî et donna aux Chrétiens et aux Juifs les Lois de Dieu appelées les Dix Commandements...." 

 

 

 

Abscon :le 19 septembre 2003 (anniversaire de Daphnée : 4 ans !!!! )

 

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